Ostensible souffle du mal qui nous porte
La vie n'est que vents soufflant sur la roche
Des immuables montagnes que la mort exhorte
De ses cris transcendants au rythmes des cloches.
Elle puise le vice des années perdues
Et d'un souffle soufré aux relents immondes
Elle imprègne mon corps du plus lourd des présents.
Larme de vie aux reflets ambrés insufflée au monde
Que le temps et le sang forgent incessamment.
Infinité viscérale imbibée d'indécence
Que ne brisera jamais que le désir des sens.